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Les
Fées |
Fées
et contes de fées, minuscules créatures surnaturelles,
généralement féminines, d'apparence humaine; récits où
elles interviennent. |
| D'une manière
plus générale, on peut appliquer le terme fée à un grand
nombre de créatures surnaturelles comme les farfadets,
les gnomes, les elfes, les gobelins, les trolls, les nains,
les lutins, etc. |
| Selon l'imaginaire
populaire, les fées vivraient dans dans une dimension
cachée du monde des humains, et apprécieraient plus particulièrement
les lieux naturels tels que les collines, les arbres,
les cours d'eau. |
| La croyance
en des êtres surnaturels dotés de pouvoirs magiques est
un trait commun de la quasi-totalité des cultures populaires
anciennes. |
| Les Sirènes
qui ensorcelèrent Ulysse, les Nymphes qui séduisirent
nombre de héros grecs de l'Iliade étaient des fées, tout
comme les Hathors, ou génies femelles de l'Ancienne Égypte,
qui apparaissaient à la naissance d'un enfant pour prédire
son avenir. |
| Les fées inspirèrent
beaucoup les écrivains.
Leur univers imaginaire, leurs pouvoirs magiques furent
prétexte à des ouvres fameuses de la littérature populaire,
notamment certains des Contes des frères Grimm, des Contes
et des Contes de ma mère l'Oye de Perrault, des Contes
d'Andersen. |
| La fée y est
un personnage ambigu. Sensible, capricieuse, susceptible,
elle aime à être traitée avec déférence.
Bonne le plus souvent (c'est la bonne fée qui se penche
sur le berceau des nouveaux-nés, apparaît aux orphelins
et aux courageux malmenés par la vie), la fée peut également
devenir une créature maléfique (on pense par exemple à
la fée Carabosse).
D'autres ouvres de la littérature générale firent place
à l'univers des fées : le Songe d'une nuit d'été et Roméo
et Juliette (notamment le monologue de Mercutio) de Shakespeare;
La Reine des fées d'Edmund Spenser. |
| ELalie |

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